Utiliser les cinq sens dans nos descriptions

Conseil très classique s’il en est : lorsque nous écrivons de la fiction, il est recommandé d’utiliser les divers sens de nos personnages afin de créer davantage d’immersion. C’est un petit réflexe à prendre, mais c’est aussi un peu plus facile à dire qu’à faire, car techniquement certains sens sont plus simples à rapporter que d’autres. Réflexions.

Utiliser un personnage POV – Les bases

Quand on parle narration, il arrive parfois que le texte adopte le point de vue (POV) d’un personnage. Cette pratique est particulièrement importante et son impact sur la façon d’écrire pas toujours bien compris. Qu’est-ce que signifie « adopter le POV d’un personnage » ? Quelles sont les conséquences concrètes sur la narration ? Comment choisir le personnage POV de son récit ? Réflexions sur ces questions et quelques autres.

Faire passer les émotions et les sentiments

Tous les lecteurs ne tirent pas le même plaisir d’un roman, mais ressentir quelque chose – des émotions, des sentiments – est l’une de leurs attentes récurrentes. Pour l’auteur, savoir communiquer celles des personnages est donc quelque chose d’important, qu’il est possible de faire de plusieurs façons… mais c'est souvent plus difficile qu’il n’y paraît. Et est-ce que ce n'est qu'un problème de narration ? Pas si sûr.

Récit choral

L'utilisation de points de vue multiples dans un roman est un outil qui peut se révéler d’une grande puissance… quand on l’utilise pour les bonnes raisons et dans les bonnes situations. Hélas, à cause du mauvais exemple des séries TV ou de quelques sagas littéraires à grand succès, l'outil est souvent mal compris et il est donc souvent mal utilisé. Quelle est la plus grande force d'un récit dit "choral" ? Quels sont ses problématiques ? Réflexions.

Structurer son histoire

C'est la poule aux œufs d’or des manuels d’écriture anglo-saxons : les structures narratives sont présentées comme des guides à suivre pas à pas, censés assurer les auteurs d’écrire des best-sellers à succès. Assemblez les étapes du récit une à une, et vous aurez forcément une bonne histoire ! C’est la promesse. Mais cette promesse sous-entend que toutes les bonnes histoires ont la même structure – un argument récurrent que beaucoup soutiennent comme un effet d’annonce, mais qui est factuellement faux. Alors, qu’est-ce que cela signifie de « structurer son histoire » ? Devrait-on suivre les structures qu’on nous vend ? Et si non, comment s’y prendre ? Réflexions.