Mystère… ou erreur de l’auteur ?

Est-ce que cela t’es déjà arrivé ? Tu as voulu générer un instant de mystère dans ton roman en créant un passage étrange ou en insérant un indice pour plus tard, et tes bêta-lecteurs (ou tes lecteurs) l’ont souligné comme étant une erreur ou une incohérence. Tu peux toujours dire « c’est fait exprès » ou « ça sera expliqué plus tard », mais ce n’est pas la bonne réponse. C’est toi qui a le contrôle sur la façon dont les lecteurs interprètent ton texte, et c’est à toi de faire en sorte que tes mystères ne sonnent pas comme des erreurs. Viens, on en parle.

L’instant pivot

J’ai déjà accordé un long article à la construction d’un climax satisfaisant. Et à l’intérieur de cet article, j’évoque par facilité plusieurs « types de climax » sans vraiment expliquer le principe d’instant pivot, qui est une toute petite partie – mais ô combien importante – d’un climax. C’est souvent quelque chose de fugace, de très court dans l’histoire… mais qui pourtant compte pour beaucoup dans la satisfaction du lecteur. Viens, on en parle.

La distance narrative

J’ai réalisé récemment que, même si je parle régulièrement de « distance narrative » dans mes articles, je n’y ai pas consacré de post à part entière, et n’ai donc pas encore clairement expliqué ce que c’est, à quoi elle est due exactement, et quels sont ses impacts sur l’expérience de lecture d’un texte de fiction. Donc, aujourd’hui, on parle de distance narrative ! Et, comme par hasard (non), c’est un sujet intimement lié… au choix de la narration.

Descriptions : entre généralités et détails

J’ai déjà parlé de descriptions sur ce blog, par exemple en évoquant le montrer/raconter, ou encore en parlant d’adapter sa description à sa narration. Si tu suis aussi le scribblog de Scribbook, tu as pu lire les adaptations françaises des fabuleux articles de l’éditrice Chris Winkle sur les descriptions. Néanmoins, un échange récent m’a donné envie de centrer un article sur un point précis et concret, et pas très difficile à appliquer : l’importance d’utiliser à la fois des généralités et des détails.

Vocabulaire imaginaire et exposition

Lorsqu’on est auteur d’imaginaire (fantastique, fantasy, science-fiction), on invente des mots. Des noms de personnages, d’animaux, de plantes, de lieux, d’objets, de métiers, de machines, et j’en passe. Trouver les bons noms ou la bonne terminologie n’est pas si simple. Il ne s’agit pas seulement de faire joli et de miser sur les sonorités ! Car il s’agit aussi de faire passer de l’information au lecteur. Viens, on en parle.