Lorsqu’on est auteur d’imaginaire (fantastique, fantasy, science-fiction), on invente des mots. Des noms de personnages, d’animaux, de plantes, de lieux, d’objets, de métiers, de machines, et j’en passe. Trouver les bons noms ou la bonne terminologie n’est pas si simple. Il ne s’agit pas seulement de faire joli et de miser sur les sonorités ! Car il s’agit aussi de faire passer de l’information au lecteur. Viens, on en parle.
Auteur : Stéphane ARNIER
Le concept ANTS : quatre piliers pour accrocher le lecteur
Sur le blog de la plateforme Scribbook, j'adapte régulièrement en français des articles du site américain Mythcreants (des professionnels de l'édition). Chez eux, un acronyme revient très souvent quand il s'agit de mesurer l’intérêt des histoires : ANTS (pour Attachment, Novelty, Tension & Satisfaction). Comme je le trouve très pertinent et que je n'en trouve pas trace en français, je te présente ça ici.
Tirer parti d’une narration à la 1ère personne au passé
J’ai déjà parlé sur ce blog de la narration à la 1ère personne au passé, en particulier dans la série d’articles Choisir sa narration. L’idée était alors de t’aider à déterminer si cette narration était adaptée ou pas à ton projet, en évoquant ses avantages et inconvénients. Mais… disons maintenant que tu veux écrire avec cette narration. Comment en tirer le meilleur parti ? À quoi devrais-tu accorder de l'attention pour exploiter au mieux ses avantages ? Viens, on en parle.
Transmettre les émotions
Si les personnages sont si importants dans un récit de fiction, c’est parce qu’ils nous renvoient aux choses de la vraie vie, en particulier les sentiments et les émotions. Hélas, ce n’est pas si simple de transmettre de l’émotion par des mots : écrire que le personnage est triste ne rend pas automatiquement le lecteur triste. Quand on se penche sur le sujet, on constate que – comme d’habitude – les armes à notre disposition en tant qu'auteurs dépendent avant tout de la narration choisie. Viens, on en parle.
Traquer les longueurs
C’en est devenu une phrase clichée chez les lecteurs et les critiques : « il y a des longueurs dans ce livre ». C’est évidemment une pique dont un auteur se passerait bien, et qui signifie généralement que le texte – même s’il est bon – a peut-être un peu trop de gras. Seulement, pour l’auteur qui a le nez sur son manuscrit, repérer ces longueurs n’est pas toujours simples. Où les traquer, et quelle réflexion mener pour les retirer ? Viens, on en parle.