Quand on fait le choix d’une narration pour écrire un texte, on fait en réalité un choix multiple : on choisit la focalisation du texte (interne au personnage ou externe), le pronom qu’on va utiliser pour notre protagoniste (le plus souvent première ou troisième personne), et on choisit le temps du récit (le plus souvent passé ou présent). Mais tout cela est lié, imbriqué. C’est une erreur de penser qu’on peut changer l’un de ces paramètres sans que cela influe sur les autres et sur la perspective générale du texte. Réflexions pour prises de conscience.