Définir le degré de réalisme de nos histoires

Si la plupart des auteurs ont déjà entendu parler du concept de « suspension consentie d’incrédulité », cela n’empêche pas les commentaires sur tous les types d’histoires d’être remplis de nombreuses critiques sur le réalisme ou la crédibilité. La raison en est simple : c’est un sujet compliqué. Pourquoi réfléchir au degré de réalisme de notre histoire ? Comment ça fonctionne dans la tête du lecteur ? Qu’est-ce qu’on peut faire ou ne pas faire en fonction de ce choix ? Réflexions.

Règle Pixar [20] : décortiquer, démonter, remonter

Sur ce blog, il n'est pas rare que je t'encourage à t'entraîner pour améliorer ton écriture, comme un sportif s'entraîne entre les matchs, au lieu de n'écrire que pour publier. Dans ce conseil N°20, Pixar te propose justement un exercice très formateur (mais impubliable) : refondre le travail d'un autre. Voyons ensemble en quoi ça peut consister, et surtout ce que ça peut t'apporter.

Préparer un questionnaire de bêta-lecture

Je te l'ai expliqué ICI, je pense que la meilleure façon de procéder à une bêta-lecture est de demander aux relecteurs de renseigner un questionnaire bâti sur mesure pour l'occasion. D'expérience, c'est BEAUCOUP plus efficace que de laisser chacun te parler de ce qu'il veut. Depuis, on m'a beaucoup sollicité pour obtenir un "bon modèle de questionnaire". À force de donner des conseils en privé je crois qu'il est temps de synthétiser mes remarques dans un article.

Au secours, mes lecteurs n’aiment pas mon personnage !

"Tu ne m'aimes pas ? — Non. — Pourtant je me trouve super ! — On ne doit pas parler de la même personne..." Une bonne histoire n'accroche le lecteur que si elle concerne un bon personnage. Et un bon…

[SCRIBBLOG] Cinq concepts pour devenir un meilleur conteur

[Que sont les articles du Scribblog ? C'est expliqué ICI] Nouvelle adaptation française d'un article Mythcreants posté sur le blog de la plateforme Scribbook : pour une fois (c'est rare !), j'avais abordé ce sujet avant Chris Winkle (il n'y…