Nos personnages sont rarement des gens idéaux qui ne se trompent jamais ou ne font jamais d’erreurs. Il est même très fréquent qu’ils agissent pour de mauvaises raisons ou commettent de terribles actions. Cela devrait les rendre antipathiques ou détestables, n’est-ce pas ? Eh bien non, pas forcément, et de nombreux éléments de contextes jouent dans la perception que les lecteurs ont du protagoniste. Mais où se situe la ligne à ne pas franchir ? Réflexions.