Si la plupart des auteurs ont déjà entendu parler du concept de « suspension consentie d’incrédulité », cela n’empêche pas les commentaires sur tous les types d’histoires d’être remplis de nombreuses critiques sur le réalisme ou la crédibilité. La raison en est simple : c’est un sujet compliqué. Pourquoi réfléchir au degré de réalisme de notre histoire ? Comment ça fonctionne dans la tête du lecteur ? Qu’est-ce qu’on peut faire ou ne pas faire en fonction de ce choix ? Réflexions.