Resserrer sa prose

Quand on parle d’écriture proprement dite, on dit souvent que la puissance évocatrice des phrases est renforcée si on s’abstient d’utiliser trop de mots inutiles ou parasites. Hélas, nous prenons toutes et tous beaucoup de mauvaises habitudes avec le temps, et écrivons certaines choses par réflexe ou mimétisme alors que nous pourrions nous en passer. De quels mots s’agit-il, exactement ? Pourquoi sont-ils dispensables, et dans quels cas ? Petit tour d’horizon, un peu fastidieux, mais salutaire…