Définir le degré de réalisme de nos histoires

Si la plupart des auteurs ont déjà entendu parler du concept de « suspension consentie d’incrédulité », cela n’empêche pas les commentaires sur tous les types d’histoires d’être remplis de nombreuses critiques sur le réalisme ou la crédibilité. La raison en est simple : c’est un sujet compliqué. Pourquoi réfléchir au degré de réalisme de notre histoire ? Comment ça fonctionne dans la tête du lecteur ? Qu’est-ce qu’on peut faire ou ne pas faire en fonction de ce choix ? Réflexions.

Règle Pixar [21] – Être vrai plutôt que cool

Cela t'est forcément déjà arrivé alors que tu lisais un livre ou visionnais un film : tu regardes la scène se dérouler, et tu te dis "c'est 'classe', mais c'est débile : pourquoi le personnage ferait ça ?". Ce conseil Pixar met en garde les auteurs au sujet de la crédibilité de leurs scènes : c'est bien beau d'avoir une idée spectaculaire, encore faut-il que les personnages aient de véritables raisons d'agir comme ils le font.