Règle Pixar [21] – Être vrai plutôt que cool

Cela t'est forcément déjà arrivé alors que tu lisais un livre ou visionnais un film : tu regardes la scène se dérouler, et tu te dis "c'est 'classe', mais c'est débile : pourquoi le personnage ferait ça ?". Ce conseil Pixar met en garde les auteurs au sujet de la crédibilité de leurs scènes : c'est bien beau d'avoir une idée spectaculaire, encore faut-il que les personnages aient de véritables raisons d'agir comme ils le font.

Règle Pixar [20] : décortiquer, démonter, remonter

Sur ce blog, il n'est pas rare que je t'encourage à t'entraîner pour améliorer ton écriture, comme un sportif s'entraîne entre les matchs, au lieu de n'écrire que pour publier. Dans ce conseil N°20, Pixar te propose justement un exercice très formateur (mais impubliable) : refondre le travail d'un autre. Voyons ensemble en quoi ça peut consister, et surtout ce que ça peut t'apporter.

Écrire un bon début d’histoire

Écrire une histoire de bout en bout est un exercice compliqué, et chaque sous-partie d'un récit présente son propre challenge d'écriture. Le début d'une histoire a un rôle majeur : il doit présenter le récit à venir et accrocher le lecteur. Si le début est raté, le lecteur risque fort de reposer l'ouvrage sans aller plus loin.

Règle Pixar [19] : pas de chance pour les personnages !

On reproche parfois aux auteurs l'intervention du hasard dans leurs histoires : c'est un outil qui apparaît comme un peu facile, puisque "il n'y a pas de hasard en écriture". Pourtant, Pixar met le doigt sur le vrai sujet : le problème, c'est quand le hasard aide le personnage ; parce que s'il lui est défavorable, le hasard peut être un allié utile du conteur.