Toutes les fictions ne comportent pas forcément d’adversaire, de personnage antagoniste au personnage principal du récit. Néanmoins, ce type de personnage est extrêmement fréquent, et le débat « qu’est-ce qu’un bon adversaire ? » revient souvent dans les discussions entre auteurs.
Catégorie : Dramaturgie
La morale de l’histoire
Même si on peut argumenter qu'une histoire consiste en une suite de péripéties destinées à divertir le lecteur, il se trouve que - le plus souvent - les événements, actions et choix du protagoniste ont souvent des implications morales. Après tout, ce n'est pas pour rien qu'on parle de "morale de l'histoire" quand on évoque les fables et contes de notre enfance : les histoires permettent généralement d’exprimer un thème plus vaste. Est-ce que c'est obligatoire, cette histoire de morale ? Pourquoi et comment se pencher sur la question ? Réflexions.
Ironie dramatique
« On n’a plus de chocolat. — C’est ironique ? — Non, c’est dramatique. » Dans un précédent article, je te disais que le mystère n’était pas un outil si puissant qu’il y paraissait. Aujourd’hui, je vais faire la promotion d’un autre outil,…
Le coût du mystère
Ah, le mystère ! Quel lecteur n’aime pas un bon mystère dans un livre ?
Quel auteur ne frétille pas lorsqu’il brode un récit autour d’un mystère ?
Soyons clairs : le mystère, c’est super.
Cet article n’est PAS un article anti-mystère.
Mais il faut tout de même qu’on discute d’un truc, toi et moi : la vérité, c’est que le mystère a un prix, et il arrive un moment où maintenir le mystère devient trop cher payé. Un moment où, comme dirait quelqu’un de ma connaissance, « la sauce coûte plus cher que le poisson ».