Présenté comme une structure universelle par les uns, vivement critiqué par les autres, le voyage du héros est devenu un gros flou pour celles et ceux qui écrivent. Une méthode universelle ? Vraiment ? Il se trouve que, comme souvent, défenseurs comme détracteurs se chamaillent sur des aspects peu importants de ce sujet et oublient de discuter les vraies questions. Je te propose une analogie pour essayer d'y voir plus clair.
Étiquette : Dramaturgie
Gérer le ton et l’atmosphère d’une histoire
Toutes les histoires n’ont pas le même « ton » : certaines peuvent être légères et fun, d’autres se vouloir réalistes, d’autres mettre l’accent sur le gore et l’horrible. Les possibilités et les nuances sont nombreuses. Mais les problèmes surviennent si l’auteur n’est pas au clair avec l’atmosphère et le ton qu’il veut donner à son histoire...
Apprendre à écrire : à quoi s’intéresser vraiment ?
Si tu débutes dans l’écriture, tu as dû te poser la question : par où commencer ? Il existe un paquet de pièges à ce stade, comme penser que tu sais déjà écrire, ou que « savoir écrire » est surtout affaire de jolies phrases et de poésie, ou encore que « écrire un livre » ne représente qu’une seule et unique compétence. Réflexions.
Le karma des personnages
L’être humain est ainsi fait : nous jugeons en permanence les autres individus selon des critères de morale et de mérite, et c’est ainsi que nous déterminons les gens que nous apprécions ou pas. Inconsciemment, nous faisons la même chose avec les personnages d’un roman que nous lisons. Chacune de leurs actions ou attitudes fait monter ou descendre une sorte de jauge mentale. Les auteurs ne réalisent pas toujours à quel point ces jauges – le « karma » des personnages – influencent la façon dont leurs histoires sont perçues par les lecteurs.
10 questions à se poser quand on bloque sur l’écriture d’une scène
Dans un vieil article, je prétendais que le syndrome de la page blanche était plus souvent un problème de texte qu'un problème d'auteur. Je n'ai pas changé d'avis : quand tu bloques sur l'écriture d'une scène ou d'un chapitre, ce qui coince ne vient pas de toi ni d'une supposée "panne d'inspiration" mais plutôt d'un souci mécanique de ton récit - disons, au moins neuf fois sur dix.