Écrire un bon début d’histoire

Écrire une histoire de bout en bout est un exercice compliqué, et chaque sous-partie d'un récit présente son propre challenge d'écriture. Le début d'une histoire a un rôle majeur : il doit présenter le récit à venir et accrocher le lecteur. Si le début est raté, le lecteur risque fort de reposer l'ouvrage sans aller plus loin.

Règle Pixar [19] : pas de chance pour les personnages !

On reproche parfois aux auteurs l'intervention du hasard dans leurs histoires : c'est un outil qui apparaît comme un peu facile, puisque "il n'y a pas de hasard en écriture". Pourtant, Pixar met le doigt sur le vrai sujet : le problème, c'est quand le hasard aide le personnage ; parce que s'il lui est défavorable, le hasard peut être un allié utile du conteur.

4 clefs pour un personnage solide

Ce blog ne manque pas vraiment d'articles sur les personnages. Néanmoins, je crois qu'il s'agit d'un sujet sans fin, que l'on peut aborder encore et encore sans jamais l'épuiser. Un récent sondage que j'ai vu passer sur twitter montrait "qu'avoir des personnages solides" était un point plébiscité par une majorité de lecteurs. Mais qu'est-ce qu'un personnage qui se tient et "qui a du corps" ? Voici 4 pistes de réflexion.

Relation Personnages/Lecteur : bonbons et épinards

Sur le blog de la plateforme Scribbook, j'adapte en français des articles du site anglais Mythcreants (des professionnels de l'édition). Chez eux, un concept revient très souvent quand il s'agit du traitement des personnages : celui des bonbons et des épinards (candy and spinach). Comme je le trouve très pertinent et que je n'en trouve pas trace en français, je te présente ça ici.